1987 La série dans le A
Nous étions la jeunesse des années 80-90, je ne quittais jamais mon reflex Minolta X700, et je cherchais des idées en permanence. Avec les copines, nous allions le dimanche après-midi aux après-midi dansant du Bataclan. Il y avait un bal rock, punk, disco, hip hop nous dansions sur la piste. Des nouvelles amitiés et amours s’y nouaient.
J’avais envie de préserver ça dans une boîte à images. Alors j’ai confectionné un genre de tract à remplir, la plupart se sont prêtés au jeu, je regrette peut-être qu’une jeune comédienne et un jeune réalisateur de l’époque, n’aient pas eu le temps de venir à une de ces séances photos.
Elles se déroulaient le dimanche après-midi, chez mon amie Solange, rue de l’Ourcq dans le 19ème arrondissement. Cette ouverture qui séparait deux pièces avait été imaginée et structurée pas le frère d’Anouck. Elle m’a servi de cadre et de scène de théâtre visuel où chacun a joué le jeu de la pose photo.
J’avais décroché de mon labo photo - labo - qui n’en était pas vraiment un… J’habitais dans un studio 20 m2, dans le 14ème et j’avais disposé sur une malle de voyage en métal noir trois petit bacs : révélateur, bain d’arrêt, fixateur pour faire mes tirages photos. Ce grand rideau noir doublé servait à empêcher toute lumière de passer à travers l’unique fenêtre qui donnait sur l’avenue Denfert-Rochereau.
Parmi cette joyeuse bande photographiée et mémorisée, certains ne sont plus en vie aujourd’hui, je pense à ma précieuse amie Laure Tran, à Christophe Salengro.
Si vous vous reconnaissez ou reconnaissez des ami(e)s n’hésitez pas à m’envoyer un message, retrouver la trace, savoir ce que vous, ou ils sont devenus…
J’avais envie de préserver ça dans une boîte à images. Alors j’ai confectionné un genre de tract à remplir, la plupart se sont prêtés au jeu, je regrette peut-être qu’une jeune comédienne et un jeune réalisateur de l’époque, n’aient pas eu le temps de venir à une de ces séances photos.
Elles se déroulaient le dimanche après-midi, chez mon amie Solange, rue de l’Ourcq dans le 19ème arrondissement. Cette ouverture qui séparait deux pièces avait été imaginée et structurée pas le frère d’Anouck. Elle m’a servi de cadre et de scène de théâtre visuel où chacun a joué le jeu de la pose photo.
J’avais décroché de mon labo photo - labo - qui n’en était pas vraiment un… J’habitais dans un studio 20 m2, dans le 14ème et j’avais disposé sur une malle de voyage en métal noir trois petit bacs : révélateur, bain d’arrêt, fixateur pour faire mes tirages photos. Ce grand rideau noir doublé servait à empêcher toute lumière de passer à travers l’unique fenêtre qui donnait sur l’avenue Denfert-Rochereau.
Parmi cette joyeuse bande photographiée et mémorisée, certains ne sont plus en vie aujourd’hui, je pense à ma précieuse amie Laure Tran, à Christophe Salengro.
Si vous vous reconnaissez ou reconnaissez des ami(e)s n’hésitez pas à m’envoyer un message, retrouver la trace, savoir ce que vous, ou ils sont devenus…
